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COMMUNIOUÉ DE PRESSE DES POLITICO-MILITAIRES NON SIGNATAIRES (CPCR).

COMMUNIOUÉ DE PRESSE DES POLITICO-MILITAIRES NON SIGNATAIRES (CPCR).
SUR LES SUITES DES MANIFESTATIONS DU 20 OCTOBRE 2022
A PROPOS DU DISCOURS DE MAHAMAT IDRISS DEBY ET DE LA POSITION DE LA CEEAC (ci-joint )

Les moments de panique passés, la junte, ragaillardie par les timides condamnations de la communauté internationale sans aucune sanction concrète à la clé, cherche à reprendre la main sur les tragiques événements du 20 octobre 2022.

Dans un message à la nation, le putschiste Mahamat Idriss Deby ne s’est donné aucune limite dans sa délation tenant par moment des propos indignes du chef d’Etat qu’il voudrait être, après les propos honteux de son Premier ministre.

Le CPCR est solidaire de toutes les luttes contre les dictatures et les impostures partout en terre africaine, et particulièrement au Tchad.

Le CPCR rappelle à toute fin utile que c’est la junte qui a refusé de donner suite à l’accord obtenu par le comité des aînés et des religieux suite à de longues et harassantes discussions avec Les Transformateurs Wakit Tamma et d’autres regroupements.

Le droit de manifester fait partie des droits essentiels de l’Homme

Il est bien dommage de réduire la tuerie du 20 octobre 2022 simplement à « de violents heurts entre les manifestants et les forces de sécurité » alors qu’il s’est agi d’un massacre perpétré avec préméditation.

La junte criminelle avait déjà pris les devants en ouvrant un consulat général de la République du Tchad à Dakhla sur le territoire du Sahara Occidental parce que le Maroc présidait pour le mois d’octobre 2022 le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, ce qui, selon la logique de Ndjamena, devait le mettre à l’abri des sanctions inévitables que l’Union africaine devrait prendre.

La CEEAC évoque le principe de subsidiarité comme une assurance complémentaire, ce qui revient purement et simplement à prendre fait et cause pour le petit boucher du 20 octobre 2022 pour empêcher l’Union africaine de prendre les sanctions qu’imposent l’alinéa 4 de l’article 25 de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance. Ce qui n’est pas étonnant de la part des chefs d’Etat de l’Afrique centrale dont au moins huit sur onze sont mal élus et ne songent qu’à s’épauler mutuellement pour durer au pouvoir en barrant la voie à toute forme d’ alternance et préparent la succession dynastique dans leurs pays.

La CEEAC s’est manifestement laissé manipuler par la France car elle est présidée par celui-là même qui qui était président en exercice de l’Union africaine et qui avait adopté la position de la France qui a adoubé le premier putsch du 21 avril 2021.

L’Afrique va-t-elle toujours accompagner la France dans la perpétuation de sa politique néocoloniale ?

L’UA peut-elle, après avoir fait « une exception » au moment du coup d’Etat, influencée par la France, faire encore fi de ses propres règles et laisser se perpétuer la forfaiture du deuxième coup d’Etat fait avec le concours précieux du CODNI et du présidium du DNIS ? Alors l’Afrique pourraitelle désormais s’opposer aux violations à venir des principes énoncés dans sa charte du 30 janvier 2007 ?

Tout sera clair, il n’y aura plus l’ombre d’un doute, si une condamnation ferme et des sanctions ne sont pas prises, la question du Tchad aura été une fois de plus la parfaite illustration du deux poids, deux mesures de la fameuse communauté dite internationale qui aura donné à la succession dynastique un permis de tuer ses citoyens.

Le CPCR rejette donc énergiquement le communiqué final hypocrite et cynique de la CEEAC du 25 octobre 2022 et réaffirme que ses mouvements membres ne sont ni d’irréductibles va-t-en-guerre ni des pacifistes bêlants, ils restent fidèles à leurs principes de toujours : ouverts à tout dialogue sincère.

Le CPCR s’oppose à toute manœuvre visant à perpétuer la gouvernance illégale et illégitime, la pérennisation de la barbarie dans notre pays, comme il rejette les accusations mensongères contre les organisateurs de la marche du 20 octobre 2022.

Le CPCR récuse l’interdiction de fonctionner des six organisations et soutien les revendication justes et légitimes des masses oppressées et opprimées dans toutes les régions du pays, comme il condamne une fois de plus tous les massacres perpétrés tant à Kouri Bougoudi, qu’à Faya, Abéché, Sandana, Fianga, Korbol, Kyabé, Mangalmé, etc.

Le CPCR affirme que tous les prétendus conflits éleveurs vs agriculteurs ou inter communautaires sont fomentés et entretenus par l’administration tchadienne dont le cynisme doit cesser.

Le CPCR s’inscrit en faux contre les « preuves » fabriquées de toutes pièces qui visent à culpabiliser les manifestants car il s’agit d’armes récupérées et emmagasinées au fils des années dans les commissariats de police et les brigades de gendarmerie que l’on brandit comme s’il s’agissait de matériels récupérés pendant les manifestations du 20 octobre.

26/10/2022

Pour le CPCR, le porte parole
Adoum Yacoub
CCMSR-CDR-CNCR-CNR-CNRD-FACT-FFN-FNDJT-FPRN-FSR-GMCT MPRD-MPRT-MRT-PACT-RPJET-UFDDF-UJL-UNDC.

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Communiqué de presse du CPCR à propos de la barbarie du 20 octobre au Tchad

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Fermes condamnations des répressions sanglantes et criminelles des manifestations pacifiques du 20 octobre 2022 et des propos irresponsables, incendiaires et mensongers de M. Saleh KEBZABO (communiqué)

COMMUNIQUE DE PRESSE No. 005/MPRD/2022

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Le MPRD condamne avec la plus grande énergie les répressions sanglantes et criminelles des manifestations pacifiques du 20 octobre 2022 et les propos irresponsables, incendiaires et mensongers de M. Saleh KEBZABO premier ministre du gouvernement de transition, qui ne sont ni dignes de son âge, ni des charges de l’Etat qui lui incombent actuellement.

En effet, au cours d’une conférence de presse furtive où toute question des journalistes conviés est interdite, M. Saleh KEBZABO, après avoir minoré le nombre des personnes tuées et blessées, s’est employé à une dérobade qui laisserait penser que les manifestants eux-mêmes se sont immolés pour ensuite faire porter le chapeau à l’armée clanique des Déby. Sans un seul mot de compassion pour les centaines de familles endeuillées à N’Djaména, Moundou, Doba et Koumra, il capte cette malheureuse opportunité pour mettre hors activités les principaux partis politiques et les organisations de la société civile capables de mobiliser les masses en ce moment, violant ainsi allègrement les libertés d’expression et de manifestation.

Avec ces centaines de personnes tuées et blessées, la vieille antienne de l’UNDR « nous n’avons jamais volé, nous n’avons jamais pillé, nous n’avons jamais tué » vient d’être frappée d’obsolescence.

Le MPRD adresse ses condoléances les plus douloureuses aux familles des martyrs, combattants à mains nues pour la liberté et la justice, tombés sous les balles d’une soldatesque lâche au service d’un pouvoir clanique qui ne connait que l’argument de la violence et de la terreur pour régner ad-vitam aeternam. Pour le Tchad nous avons pris les armes, avec le peuple nous briserons cet étau clanique pour une démocratie libre et alternative. Aux martyrs nous disons que votre sacrifice ne sera pas sans porter ses fruits qui, comme l’écrivait le poète, « ont peu à peu l’amer saveur de la liberté ».

Fait à Edmonton, Canada, le 21 octobre 2022.

Le Secrétaire à la communication

Laoukein Narmer

Courriel : communications@mprd.org

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Le CPCR rejette les résolutions du soi-disant dialogue

#Tchad Communiqué de presse du cadre permanent de concertation et de réflexion (CPCR) des mouvements politico-militaires et alliés rejetant les résolutions du soi-disant dialogue organisé par la junte au pouvoir et ses supporters. #CPCR

Communiqué de presse du cadre permanent de concertation et de réflexion (CPCR) (.PDF)

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE No. 004/MPRD/2022

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Depuis le début du mois de septembre 2022, l’armée clanique des Itno a investi les localités de Korbol et de Tarangala sous le fallacieux prétexte de faire la chasse aux coupeurs de route en harcelant des paisibles citoyens et pillant les pauvres stocks des commerçants comme à son habitude depuis presque 18 ans. Le prétexte coupeurs de route tournant court très vite, la soldatesque n’en pouvant plus de tourner autour du pot, a décidé enfin d’aller s’essayer à l’attaque du camp des vaillantes forces du MPRD le mercredi 15 septembre. Des combats d’une rare violence ont pris momentanément fin par la mise en débandade des assaillants de l’armée clanique qui a laissé sur le champ de bataille 46 morts dans ses rangs et 57 fusils d’assaut. Ne pouvant supporter cette nième humiliation, les soldats aux ordres de la junte CMT sont revenus le lendemain brûler entièrement le village Hilé Djadid après avoir arrêté et tué 6 civils innocents dont Hassan Kabo, un adolescent de 14 ans. Les 5 autres victimes innocentes lâchement assassinées après leur arrestation sont :

  • Monsieur Maïgoura Yamgour,
  • Monsieur Idriss Kari,
  • Monsieur Brahim Gambo,
  • Monsieur Saleh Bosséré,
  • Monsieur Moussa Bow.

Pendant ce temps, la mascarade prétendument appelée Dialogue Nationale Inclusive et Souveraine s’emploie à fabriquer une fausse légitimité pour le président de la junte afin de lui assurer une éligibilité dont la suite ne surprendra que les niais du paysage politique tchadien.

Fait à Edmonton, le 26 septembre 2022

Le Secrétaire à la communication

Laoukein Narmer

Courriel : communications@mprd.org

Version [PDF] du communiqué: télécharger

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TCHAD : La Transition et le dialogue sont déjà des échecs. La démission de Mahamat Idriss Déby s’impose pour éviter un chaos supplémentaire à notre cher pays le Tchad.

Tchad

La Transition pilotée par la junte ainsi que le dialogue sont un échec. Nous sommes face à une escalade d’un soulèvement avec pour conséquence une guerre fratricide., Le président du comité militaire de la transition, Mahamat Idriss Déby, doit démissionner afin de nous éviter un cycle de violence inouïe.

Ce lègue doit revenir à une personnalité qui n’a pas trainée sa casserole, qui fait l’unanimité du peuple pour finir la transition, avec une élite post coloniale qui s’inscrit dans le contexte du moment et soucieuse de l’intérêt supérieur de la nation.

Nous sommes fatigués de voir des aînés et l’appareil de l’état corrompus jusqu’à la moelle décider de nos sorts et de ceux des générations futures. Il faut laisser la jeunesse décider de son avenir.

Le mythe que l’armée est la garante de la sécurité du pays n’aura son sens que si ce dernier sort du carcan clanique et redevienne une armée nationale prenant en compte toutes les sensibilités du pays.

L’élan d’espoir suscité par les négociations entamées entre les politico-militaires et la junte adoubée par la France a accouché d’une souris, en raison de la mauvaise foi et le plan foiré du passage en force pour aboutir à la reddition pure et simple des groupes signataires, sans accord, ni une négociation. Devant ces fiascos, on se pose des questions légitimes :

  • Comment le Qatar en qui nous avons tous crus puisse faire le jeu de cette junte sans aucune légitimité, pour s’extirper de son rôle de médiateur ?

Comment peut-on être égarer face au bilan catastrophique de 17 mois de transition, qui est une preuve suffisante pour jauger la capacité de ces usurpateurs à assurer la défense et la sécurité des Tchadiens et des Tchadiennes ?

  • Comment peut-on être aveugle face à ce dialogue folklorique pour un plan de dévolution dynastique du pouvoir ?
  • Mahamat Idriss Deby est-il coincé entre les tenants du pouvoir et la France pour préserver leurs acquis en menant le Tchad dans un brouillamini ?

Toutes ces questions confirment clairement la mauvaise foi du camp gouvernemental avec une stratégie bien huilée pour un passage force à travers ce dialogue dit « national inclusif et souverain ».

  • Où est la souveraineté d’un dialogue quand sa garantie revient au PCMT ?
  • Où en est le dialogue national inclusif, boycotté par une partie de la classe politique, civile et religieuse ?
  • Il est où, l’inclusivité quand les 18 mouvements politico-militaires non-signataires, crédibles sont exclus ?

Pire, le CMT este dans sa logique de magouille et de fait accompli. Comme preuves, il y a :

  • La cacophonie de règlement intérieur n’a pas été votée !
  • Le présidium et ses membres ont été copté et imposé, sans vote !
  • L’agenda est creux ! Il est incomplet pour résoudre nos problèmes cruciaux.
  • La question de l’inéligibilité, la réforme de l’armée, la sécurité, la justice, la révision des accords avec les pays étrangers, en particulier cette France néocolonialiste qui tient à sauvegarder l’un des derniers pans de ce qui lui reste de son pré-carré sur le continent ne trouveront pas solutions avec cette junte au pouvoir et son dialogue.
  • Les paroles données sont sélectives et limitées !
  • Les travaux des commissions ne seront jamais entérinés !
  • Les thématiques ont été déjà travaillé d’avance !

Entre l’usage de tir et la descente de la police et l’armée pour des violences et arrestations, le dialogue est-il possible ? Peut-on encore parler de la paix et du changement au Tchad dans les conditions actuelles ? Difficile de le dire.

Malgré la présence de certains de nos frères politico-militaires et de l’opposition dans la salle, ils ont une marge de manœuvre très étroite et ne pourront pas changer la dynamique de confiscation du pouvoir qui est en marche.

Et même si le gouvernement de transition continue à acheter la conscience de certains énergumènes qui ont vendus leurs âmes au diable pour des miettes, à noyer la salle pour un monologue, aucun Tchadien n’acceptera aujourd’hui la monarchie.

Dans cette situation bouillante, explosive, nous sommes face à une impasse. La crainte d’un chaos qui pourra déclencher une autre guerre fratricide au Tchad se pointe à l’horizon.

Mahamat Idriss Déby doit faire le contraire de son père, en prônant la paix et le changement.  Il sera judicieux d’acter l’inéligibilité dans cette situation. Ce sera sa porte de sortie. Sinon, il démissionne maintenant s’il veut être président après la transition., Non seulement il rentrera par la grande porte dans l’histoire du Tchad et corrigera ses échecs, mais il nous évitera le chaos et la guerre.

L’heure est grave. L’heure est à la vigilance, et à la mobilisation des toutes les forces vives, de tous les corps militaires et les acteurs politiques afin de refuser cette tentative déstabilisatrice du CMT pour pérenniser le pouvoir de Déby et les visées hégémoniques de la France.

Les militaires doivent regagner les casernes et laisser la gestion de la transition aux politiques dignes et ayant l’amour de ce pays.

A ceux qui ne veulent pas l’entendre, la transition et dialogue en cours sont déjà des échecs. Rien de bien pour le peuple tchadien ne résultera de tout ce qui se fait parce que le CMT et ses allies restent dans la logique de la confiscation du pouvoir. A tous ceux et celles qui veulent un autre Tchad de tirer les conclusions qui s’imposent et de prendre leurs responsabilités.

Souradj OUMAR SAKINE | sosakine@mprd.org

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE N°003/MPRD/2022

Le MPRD dénonce et condamne avec la dernière énergie la tentative d’assassinat du président du parti Les Transformateurs, qui se rendait ce matin du 09 septembre 2022, accompagné par un bon millier de ses militants, au palais de Justice pour répondre à une convocation pourtant non motivée du Procureur de la République près le Tribunal de N’Djaména. Cette tentative s’est soldée par plusieurs blessés graves parmi les militants qui accompagnaient mains nues le chef de leur parti et par un endommagement sauvage du siège du parti où Succès Masra est allé se réfugier après avoir rebroussé chemin. La soldatesque
gardienne du royaume des Itno a tiré à balles réelle sur la foule des militants et dans le siège domicile du parti, au moment même où se déroulent au palais du peuple l’autre mascarade de légitimation de la junte malicieusement appelée Dialogue National Inclusif et Souverain.

Ayant reçu en héritage un système de terreur permanent, de déprédation systématique et de corruption généralisée comme méthode de gouvernance, l’enfant-soldat propulsé au grade de général dès sa trentaine, fait feu de tout bois pour battre le record de son père dans la boucherie humaine et le crime économique.

Au MPRD, nous espérons en vain avoir tort d’avoir pris les armes pour essayer de libérer notre pays pris en otage par des barbares d’un autre siècle entrés par effraction dans notre temps. Ces massacres et pillages au quotidien nous donnent à jamais raison et nous confortent dans notre détermination à aller jusqu’au bout du combat pour la justice et la liberté.

Aussi, par ce communiqué de presse, exprimons-nous notre compassion au parti Les Transformateurs et demandons-nous au peuple tchadien de lever la tête pour regarder l’horizon avec joie car la fin de la barbarie est proche.

Fait à Edmonton au Canada le 09 septembre 2022

Le secrétaire à la communication
Laoukein Narmer

Télécharger le communique en version PDF.

Blog: https://mprd.org  | Twitter: @MPRDTCHAD  | Facebook

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Bienvenue sur le blog du MPRD!

Nous vous souhaitons la bienvenue sur notre blog. Nous sommes le Mouvement pour la paix, la reconstruction et le développement (MPRD), un mouvement politico-militaire opérant dans les maquis du sud du Tchad. Nous luttons depuis 2005 pour l’avènement d’un nouveau Tchad, démocratique, fondé sur la justice, l’inclusion, l’équité, la diversité, la vérité, la fin de l’impunité et de la corruption. Ce nouveau Tchad nous permettra de vivre tous en paix, de nous respecter dans nos us & coutumes, d’entamer la reconstruction du pays dévasté par plusieurs décennies de confits fratricides et de lancer le développement socio-économique du pays.

Supportez-nous! Rejoignez-nous dans ce combat commencé par notre fondateur, feu Colonel Djibrine Dassert et ses compagnons qui avaient pris les armes contre le système injuste et répressif institué par feu Idriss Déby Itno et qui perdue encore dans notre bien-aimé Tchad. « Seule la lutte libere, » disait l’une des figures historiques et revolutionnaires du continent africain. Nous nous inscrivons en droite ligne de cette philosophie de combat pour changer la destinée de notre peuple meurtri, humilié, exploité, usé, et abusé. Nous faisons notre ce discours de libération, d’indépendance et de panafricanisme.

Ensemble, nous arriverons à changer le Tchad (et l’Afrique!) pour le meilleur et pour le bien de tous ses fils et toutes ses filles.

Le Bureau Exécutif du MPRD.